Usure de compassion : le parcours d'une aidante Prendre soin de soi Madeleine Fortier
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Prendre soin de soi - Usure de compassion : le parcours d'une aidante

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Lorsque j’ai découvert que je souffrais d’usure de compassion, en 2012, on en parlait alors très peu. Aujourd’hui, 10 ans plus tard, une recherche sur Google me démontre clairement que cette maladie est de plus en plus connue et j’en suis fort heureuse.

L’usure de compassion, c’est ce qui nous guette lorsqu’on est tellement engagé.e dans l’aide aux autres que l’on s’oublie en chemin et que l’on s’épuise. 

Dans ce nouveau livre, j’ai voulu ajouter à mon guide Usure de compassion : jusqu’où aller sans se brûler ? une suite plus personnelle, où je relate les rencontres que j’ai eues depuis maintenant 8 ans que je fais de la sensibilisation et de la prévention, et où je présente mes constats, des articles de fond, des outils et des entrevues.

Ce livre est aussi disponible en format PDF et E-Pub.

Pour des raisons pratique, la taxe est incluse dans le prix.

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Customer Reviews

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Danielle B.
Un livre très bien résumé et très complet

Tout d'abord, le format est parfait pour moi qui ne lit pas souvent. Il est très bien résumé et très complet. Suite à votre formation et à la lecture du livre, je suis frappée par le fait qu'on a beau connaitre tous les moyens de protection, cela prend souvent un déclic ou de l'aide d'un proche (conjoint, amis) pour tirer la sonnette d'alarme, se choisir comme personne, comme couple. Il est facile de se noyer dans toutes les tâches à accomplir comme aidant. De plus, préparer du répit alors qu'on est en épuisement, demande de la force qu'on n'a plus bien souvent. Alors on s'enlise.

Et la compassion, oui, mais aussi, le syndrome du sauveur et le fait de se sentir tellement valorisé quand on fait une différence chez les autres, nous use à la longue. (...)

Quelle bonne idée de sensibiliser les gens, le voisinage, la famille. Tous les regards sont tournés vers les aidés, leurs besoins, leurs biens, leurs droits. On nous remercie mais rarement on nous demande comment ça va. Pourtant le bien de ces personne dépend de la santé mentale et physique de celles qui les aident. Cela ne me fait même plus plaisir quand on me dit « Bravo, moi je ne serais pas capable, ça en prend des gens comme vous, vous êtes tellement bons... » Ben oui, on est un peu fou aussi.

Pour terminer, mille Mercis Mme Fortier pour votre travail et votre implication. Aider les aidants c'est important !

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